Alors qu’elles font souvent les travaux les plus pénibles et les moins bien rémunérés, les femmes âgées de 50 à 55 ans, bien qu’épuisées, sont souvent contraintes de maintenir leur taux d’occupation voire de travailler davantage, malgré leurs charges domestiques et leurs éventuels problèmes de santé, pour bénéficier d’une rente suffisante. Une réalité que peinent encore à intégrer pouvoirs publics, entreprises et syndicats.