Dans cet article, Stéphane Rullac présente les résultats de la première partie d’une recherche pour la FIRAH qu’il a dirigée et qui visait à mesurer si les déficiences motrices et/ou sensorielles sont des freins à l’accès aux dispositifs pour les personnes sans-abri à Paris. Dans le cadre de cette recherche, les parcours de 30 personnes sans-abri ont été analysés. Les résultats présentés fondent l’existence d’un processus de non-recours du fait du manque d’accessibilité du dispositif.